Des pirates informatiques soutenant Téhéran ont ciblé des banques américaines, des entreprises du secteur de la défense et des sociétés pétrolières à la suite de frappes américaines contre des installations nucléaires iraniennes, mais n’ont jusqu’à présent pas provoqué de perturbations majeures des infrastructures critiques ni de l’économie.

Mais la situation pourrait changer si le cessez-le-feu entre l’Iran et Israël s’effondre ou si des groupes de pirates informatiques indépendants soutenant l’Iran tiennent leurs promesses de mener leur propre conflit numérique contre les États-Unis, selon des analystes et des cyberexperts.

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